Le récit de Dominique Diricq sur le trail du Portugal

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  • Le 05/08/2014

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Un départ différé de 20’, car c’était une première organisation, et une longue file à l’inscription, malgré que tout se faisait sur pré-inscription ! Départ commun aux deux distances (9 et 21 km).Au de part trail

Après le premier kilomètre, bouchon dans un sentier très étroit et déjà la 1ère côte.

Vers le 3ème kilomètre, en compagnie d’une trentaine de traileurs, nous nous sommes trompés de parcours et le temps de nous rendre compte de notre erreur, nous avons effectués 300 m (X2) de plus. Un parcours parsemé de longs faux plats, de passages en sous-bois, de traversées de bois d’eucalyptus, de solides montées et de descentes tout aussi solides parsemées de chemins piégeux et caillouteux à souhait.

Vers le 14ème kilomètre, le point le plus haut du parcours, avec l’ascension d’une sorte de terril (à découvert), sans aucune végétation et au sommet, un point de vue incroyable, une borne géodésique, et…….la présence de pompiers et de la croix-rouge portugaise….. !!

Vue d alentejo

Les derniers mètres de cette montée se faisaient quasi à quatre pattes. Dans la longue descente qui a suivi, fort caillouteuse, j’ai ressenti une douleur aux doigts de pied du côté gauche, et ensuite, chaque appui sur des cailloux devenait un vrai supplice.

J’ai terminé donc les derniers kilomètres à moitié en marchant, l’autre moitié en trottinant lorsqu’il y avait un peu de macadam. Je termine en 2 h 50 50’’ (131ème/154). Il y avait 660 m de dénivelé, et finalement 21,6 km.Le re confort

A l’arrivée, bonne surprise, les organisateurs avaient prévu trois tables de massage, et je ne me suis donc pas fait prier pour profiter de ce cadeau.

Dominique Diricq